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En complément de traitements médicamenteux parfois lourds et d’un encadrement médical spécifique, certains pensionnaires de maison de retraite ou autres établissements spécialisés profitent de ce que l’on appelle les « thérapies alternatives ». Phytothérapie, luminothérapie, aromathérapie, les thérapies parallèles pullulent et ont la cote ! Leur intérêt ne consiste pas à remplacer le rôle essentiel du corps médical, mais à le compléter. Aujourd’hui, sur le blog de Sexy tout court, je voulais vous parler d’une drôle de thérapie qui porte ses fruits depuis longtemps déjà auprès des personnes malades, en situation de handicap ou en perte d’autonomie : la zoothérapie.

Le rôle de la médiation animale dans le bien-être des patient∙e∙s

Les animaux ont ce je-ne-sais-quoi d’apaisant, de réconfortant et de chaleureux. Les liens qui se tissent entre les êtres humains et leurs compagnons de route sont forts et parfois inexplicables. C’est probablement ce raisonnement qui a poussé les institutions à se tourner peu à peu vers la médiation animale pour apaiser les maux du quotidien.

Une efficacité prouvée ?

Si l’animal ne peut pas influencer le cours de la maladie, il joue cependant le rôle d’accompagnant et de soutien. Pour les pensionnaires atteint∙e∙s de la maladie d’Alzheimer par exemple, les bienfaits sont nombreux : diminution de l’agressivité, rétablissement du lien social, stimulation des capacités cognitives, etc. Auprès des enfants les résultats sont les mêmes : sourire sur les lèvres, joie, instants de complicité, d’échange et de partage qui redonnent du baume au cœur.