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Alors voilà, c’est l’été et je fais attention aux UVA et aux UVB. Je me tartine de crème solaire pour ne pas ressembler à une écrevisse en justaucorps de danse. Oui parce que, ça a beau être l’été, je poursuis mon chemin d’apprentie petit rat d’opéra en stage de danse. Et la santé de ma peau, j’y tiens. Je fais généralement tout ce que je peux pour prévenir les mauvais coups du temps et des éléments. Et figurez-vous que j’ai récemment appris l’existence d’une nouvelle ennemie : la lumière bleue.

Où est-elle, cette lumière bleue ?

Dans le spectre de lumière que l’on reçoit en pleine poire de la part du soleil, des ampoules LED et de nos écrans (télévision, tablette, téléphone, ordinateur), on trouve cette fameuse lumière bleue dont les longueurs d’ondes se situent entre 380 et 500 nanomètres. Et à l’intérieur de ce groupe de longueurs d’ondes, il y a celles couleur bleu-violet. Et ce sont elles, nos ennemies. On désigne ces rayons de manière simplifiée via les appellations lumière bleue ou lumière à haute énergie visible (HEV).

Ses méfaits

En plus de fatiguer la vision, elle en accentue les troubles, notamment la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). C’était déjà assez sans qu’on en ajoute ! Or, j’ai appris qu’en plus, elle contribue au vieillissement de l’épiderme. Taches, peau grasse, rides, teint terne… Ces désagréments peuvent être dus à de trop nombreuses heures passées à scruter nos écrans (merci Snapchat et compagnie).

Comme je tiens à garder l’œil vif et la pommette fraîche au moment d’enfiler ma tenue de danse pour mon gala de fin de stage, j’ai compilé quatre solutions pour parer aux méfaits de la lumière bleue :

  • La marque new-yorkaise Make a mis au point un filtre anti-HEV à mélanger à sa crème de jour ;
  • Il existe des filtres anti-lumière bleue pour écrans ;
  • Il y a cette application à tester censée adapter la luminosité des écrans ;
  • Il existe également des lunettes de vue à verres filtrants.